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25 mars 2018 7 25 /03 /mars /2018 11:56

Plus d'infos sur xtin.jimdo.com

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Published by X.TiN Peinture - dans EXPOS
1 octobre 2017 7 01 /10 /octobre /2017 15:23

Après le retour n°1 avec des animales, et le retour n°2 avec des forêts, voici le retour n°3 avec des vilaines:

Joconde par xtin
Je ne suis pas celle que vous croyez, Mona Lisa par x.tin

 

des vilaines par x.tin
des vilaines par x.tin
des vilaines par x.tin
des vilaines par x.tin

des vilaines par x.tin

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1 octobre 2017 7 01 /10 /octobre /2017 15:10

La "rétrospective" évoquée au retour 1 continue ici avec des forêts:

des forêts par x.tin
des forêts par x.tin
des forêts par x.tin
des forêts par x.tin
des forêts par x.tin
des forêts par x.tin

des forêts par x.tin

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1 octobre 2017 7 01 /10 /octobre /2017 14:57

Bientôt 2 ans que j'avais délaissé ce blog... pour d'autres, pour les réseaux sociaux, pour un site.
Alors, même s'il est envahi par la pub, il faut reconnaître qu'il est bien référencé le bougre!

 

peinture de x.tin
L'aire d'aigle par x.tin

Je vais donc résumer en quelques images, les 22 mois d'infidélité, en commençant par les animales:

 

animales par x.tin (acryliques sur toile)
animales par x.tin (acryliques sur toile)

animales par x.tin (acryliques sur toile)

Tout est bien suivi sur mon site ici: https://xtin.jimdo.com/

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2 décembre 2015 3 02 /12 /décembre /2015 16:23

Samedi 12 décembre 2015 de 17h30 à minuit

L'Acoustik klub, 216 avenue Jean Jaurès, Paris 19ème/Cité de la musique

 

J'aurai le plaisir de participer à une soirée organisée par les arts et mouvants à l'occasion de la pleine lune et dont le programme est à découvrir ci-dessous.

La face cachée de la lune

Après l'Argent, le Temps, l'Exil, le Baiser, l'Eros, la prochaine thématique des NOUVELLES ET TOILES DU LITT'ORAL du samedi 12 décembre 2015 sera consacrée à La face cachée de la Lune !

Une soirée mise sur orbite par Les Arts et Mouvants à partir de 17h30 en compagnie des cinéastes, musiciens, chanteurs, plasticiens, danseurs, conteurs, vidéographes, écrivains, voyageurs et scientifiques qui ont répondus à l'Appel de Lune à l'Autre pour nous livrer les secrets de leurs satellites respectifs !

PROGRAMME !


  • 17h30 Vernissage de l'exposition au soleil des oeuvres picturales réalisées sur la Lune par Luc Billières, Xtin et Isabel Pidival, ainsi que des sculptures de Fabien Gaillard

De 18h à Minuit un programme en 3 cycles lunaines et un interlune
Un voyage orchestré tout du long par Emil & Un Visage sous les lumières de Philippe Chauvin
avec par ordre de passage et sous réserve de modification :

  • 18h 1er Cycle


Emil & Un Visage / introduction en poézique
Marianne avec Jean-Noël Xtin Alexandra / Performance pour texte, xaphone et images
Céline Huot / Conte musical navajo
Roland Quelven / vidéographie
Orélien Péréol / Texte et musique
Roland Quelven / vidéographie
Virginie Carrillo, Rudy Ehrhart, Benjamin Parienti, Maria Donzella Gaubert et La vierge noire / Spectacle pour texte, guitares et danse flamenco

  • 19h15 INTERLUNE

Georges Méliès & Roland Quelven / Projections
Céline Huot / Les murmures de la Murmureuse

  • 20h30 2ème Cycle


Mark W. Suits / Concert zodiacal pour voix et piano
Alan Fairbairn / The dark side of the clown
Nunny Nu / Concert à nu pour chant et piano
Alan Fairbairn / The dark side of the clown
Projection surprise
Caroline Tudyka et Heideline Eckel / Concert pour chant piano et danse
Alan Fairbairn / The dark side of the clown
Andréa Bucko / Concert pour chant et piano
Alan Fairbairn / The dark side of the clown
Lyonel Kouro et La pleine lune des gheishattes / Projection
Nirina Lune / Rap
Alan Fairbairn / The dark side of the clown
Projection surprise

Avec les interventions lunatiques et impromptues de Hélène Milan, Rodrigo Ramis, Sabine Lehoux, Cédric Jacquemont et de quelques autres invités inattendus ...!

23h 3ème Cycle

le grand concert de The Bowling Team avec Troy Henriksen, Lucas Fox et Steven Forward / le groupe pur rock venu des Etats-Unis pour jouer aux quilles avec la lune et mieux vous faire perdre la boule !

Une soirée passée en compagnie des Artistes: Valentino Biagio featuring Marie Lienhard
dans des 'Esquisses de Lune Noire'

Ils vous invitent dans le cadres des NOUVELLES ET TOILES DU LITT'ORAL à répondre à l'appel si séduisant de la lune noire. Chaque personne, une planète : les 'Esquisses de Lune Noire' de Valentino Biagio featuring Marie Lienhard vous attendent, venez crée votre propre univers, comme vous voulez, quand vous voudrais dans le courant de la soirée. En fin de soirée ces peintures de caverne de Lacoustik Klub viendront danser sur écrans géant.

Flyer de la soirée

Flyer de la soirée

(texte de présentation rédigé par les arts et mouvants)

Lien vers le site de "les arts et Mouvants"

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28 septembre 2015 1 28 /09 /septembre /2015 18:51
En cinq ans, Venise...

En cinq ans, Venise a changé.


Les chats libres se font rares, et les chiens en laisse ont investi la rue.
Les petites maisons des chats, bâties en bois, ont laissé place à deux toilettes chimiques réservées aux aficionados de la marche nordique. Les ombres des bâtons de marcheur semblent avoir dessiné des croix sur celles des chats et des pigeons qui se côtoyaient à cet endroit.
Des guitounes de souvenirs identiques ont remplacé "je love Venise" par des foulards, chapeaux, t.shirts semblables d'une échoppe à l'autre.
Le vaporetto a acquis son bip valideur de portillons.

En cinq ans, Venise...

Venise reste belle.


Son coeur organique, dont le centre se gangrène peu à peu, a explosé mais il reste sur les bords une palpitation de chair riche et goûtue, une odeur de marée croupie, une voix qui résonne, une nonne qui marche seule, un râle de clapotis qui emporte comme un sang le crépi des briques d'un rouge nu de douleur.

Ici, on mène ses morts en bateau jusqu'à l'île de san-Michele. Les membres du convoi prennent le vaporetto. Le noir du deuil se mêle alors aux casquettes et aux lunettes de soleil.
Les larmes s'évaporent avant de pouvoir couler. On arrive au cimetière entre peine et touristes discrètement honteux mais ravis d'assister à l'événement.

Cette seconde visite me laisse pour le moment des bleus vifs et impuissants. L'abus d'inéluctable me rend vaseuse et c'est à coup de poings que je tente de ranimer ma fuyarde de fée.

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20 juin 2015 6 20 /06 /juin /2015 15:30

Nouveau coup de coeur hier soir pour un lieu que je ne connaissais pas: l'Usine.

C'est suite au vernissage d'Anne Van der Linden (dont l'expo est toujours en cours actuellement à la librairie Publico) que j'ai été invitée à découvrir ce lieu nouveau pour moi, bien qu'il ne le soit pas pour d'autres.

C'est à cette occasion là:

Usine à découvertes

que j'ai visité l'endroit ainsi qu'une  "lecture en vers et en musique".

 

Je me suis pointée au 102 boulevard de la Villette, où le porche protecteur s'est ouvert sur une jolie cour du vieux Paris. Au fond de la cour, à l'endroit dit, des gens attendaient, se parlaient, se disaient bonjour. J'étais donc dans un lieu de rencontres qui se renouvelaient, ça commençait très bien côté chaleur humaine.

 

Je me  promène pour contempler les oeuvres.

Sagement, je m'assois à l'annonce du spectacle qui va commencer.

 

J'avoue que je n'ai pas de culture très poussée de la littérature médiévale et que je connaissais le roman de Renart comme beaucoup, c'est à dire mal.

 

Au sol, un tapis est jonché d'instruments de musique ancienne.

Trois troubadours arrivés d'un autre millénaire s'installent.

 

Le début de la lecture m'a fait esquissé le sourire narquois qui sied à l'inculture, mais ma curiosité naturelle et l'intérêt suscité par les protagonistes l'ont transformé en regard intelligent. Eh oui...

 

Au cours du récit, la voix du narrateur se métamorphose selon les personnages qui prennent la parole.

Une musique contemporaine au Roman de Renart accompagne et ponctue les extraits de texte qui nous sont offerts.

J'entends des instruments à cordes, de la flute, des percussions, et une voix dont la tessiture évoque les chants lithurgiques.

 

En cinq minutes, j'étais conquise par l'habileté du récitant, par la fraicheur des musiciens et par l'ambiance joyeuse qui se dégage naturellement du récit. J'étais dedans!

Au plaisir d'entendre des sonorités et des voix auxquelles nous sommes peu habitués, s'est ajoutée la découverte d'un texte dont le fond reste actuel du fait que la nature humaine n'a pas changé, et dont la forme a été remaniée "en octosyllabes, avec des rimes suivies" pour faciliter notre oreille "moderne" à en percevoir le sens.

 

Pour ceux qui, comme moi, ne connaissent pas ces textes, je m'appuierais sur des références scolaires ou cinématographiques courantes et dirais que c'est :

  • une dose de Jean de la Fontaine ou d'Orwells (pour le parallèle entre l'âme humaine et la nature animale),
  • une dose de Rabelais (pour les références aux plaisirs de la bouche et du trou du cul),
  • et un brin de Tarentino pour la scène où les membres et les queues attachés aux arbres sont découpés afin de libérer leurs propriétaires.

 

Je fais la connaissance de :

  • Renart le goupil, malin et charmeur,
  • Ysengrin, le loup ennemi de Renart,
  • Brun, l'ours pataud,
  • Grimbert, l'ami de Renart qui se trouve aussi être un blaireau,
  • Tiber, le chat feulant et faux-derche,
  • Noble, le roi-lion ramollo,
  • Fière, la reine-lionne attentive mais qui se fait prendre par surprise et par tous les trous par Renart

Tout ça pour dire: ça m'a plu!

C'était une première, et je retournerai dans ce lieu propice aux découvertes, puisque des vernissages s'y déroulent régulièrement. En outre, l'Usine est une maison d'édition qui propose une revue d'art (Empreintes) et des monographies d'artistes, essentiellement des dessinateurs et des graveurs, d'après ce que j'ai pu voir et feuilleter.

A une prochaine fois là bas.

 

Le site de l'Usine

Le site de la compagnie médiévale Ficta Musica

Quelques images de l'artiste exposant Alain Delpech

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1 mai 2015 5 01 /05 /mai /2015 14:30

Ta dernière blague ne m'a pas fait rire.
D'ailleurs j'en ai oublié le début,
le
milieu
et
la
fin.


Je ne me souviens que de la chute,
de ses mouvements saccadés comme un ralenti obcène qui fait durer l'attente,
qui fait revivre ce qui n'a pas encore eu lieu;
l'avenir inéluctable et proche duquel on se retire, avec la souplesse d'un
élastique,
avec la rapidité d'un
élastique dont le l'élan prévisible
se
répète inlassablement,
puis
se
lasse.


Je ne me souviens que du sentiment de la chute.
Son silence s'est étalé comme une encre se couche sur du papier, avec impudeur
et cruauté
ne sachant pas qu'il allait être brisé,
ayant déjà survécu
à
maintes lectures
et aux froissements.


Je ne me souviens que du sentiment.
La fêlure du miroir piqué reflétait une image de moi
en noir
et blanc,
apaisante et tragique,
déchirée en son milieu,
vidée de ses mondes possibles,
étoilée,
sans lune.


Le temps a débordé, et puis, il a fui.
Les rustines ne tiennent plus, leurs mensonges s'échappent avec un petit sifflement qui rappelle que le cocasse(*) n'est jamais loin.


Je me tasse dans un coin.
En fait, je m'entasse.
Je fais les comptes.
Le temps fait le décompte,
et
je me rends compte
que
je n'en ai plus qu'un.
Nos valses en avaient bien trois?


Je me replie sur une ile entourée de terres que la pluie ne parvient pas à recouvrir. Les sables meuvent et engloutissent l'océan.
Tous les liquides sont en voie de disparition et il ne me reste plus qu'une cartouche d'encre. "Je" n'est plus un autre. Ma mémoire l'a perdu.

J'ai la syn-
cope
du détail.
Cinéma-
scope.
L'image est large et plate.
L'angle est grand.
L'horizon est de plus en plus
proche.
Je n'ai pas sommeil puisque je suis endormie.
J'attends un frère dans le bois mourant.
Je suis un film muet et ne me fie qu'aux apparences, les réalités n'étant pas moins trompeuses.
Je sais bien que l'homme qui rit y est contraint par des perspectives dépravées,
peintes à la main sur du carton, inventées
par un artiste
employé à
fabriquer des paysages,
des ruines et des regards.


J'ai la liberté
désespérante.
A chaque fois que j'ouvre les yeux, le monde me semble plat ,
et pourtant il tourne, il tourne,
et ne fait que tourner sur lui-même, sans jamais se retourner.
Alors,
j'avoue que
parfois,
souvent,
tous les jours,
je me détourne,
me détourne du
monde
et me retourne pour
te retrouver
et
tenter de
comprendre ta dernière plaisanterie.


Cette blague dont la chute t'a emporté.

Le titre est moins important que le sous-titre

 

 

 

(*) prononcer: "le silence" 

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22 février 2015 7 22 /02 /février /2015 14:18
Jérôme ZONDER à la Maison Rouge

Hier, j'ai marché sous la pluie jusqu'au boulevard de la Bastille et je me suis arrêtée à l'expo "Fatum" de Jérôme Zonder à la Maison rouge, expo sur laquelle j'ai envie de m'attarder tout particulièrement.

Jérôme ZONDER à la Maison Rouge

On y pénètre en traversant une forêt d'arbres noirs et blancs, au sol des feuilles jonchent le sol, sur les murs des dessins encadrés sur lesquels on se penche et baisse les yeux (ils sont accrochés relativement bas, à hauteur d'enfant? en tout cas à la mienne).

On entre ensuite dans un chalet où on découvre un autoportrait du visage de l'artiste qui nous dit qu'il n'arrivera jamais à faire tout ce qu'il veut. Nous, nous prendrons le temps de découvrir ce qu'il a pris le temps de nous montrer. (Je suis toujours étonnée de voir tant de visiteurs me dépasser à chaque expo que je vais voir. Je dois être particulièrement lente à regarder, à comprendre, à ressentir. A moins que je n'ai tout simplement pas envie de me détacher...)

Je me promène. La forêt se transforme en papiers collés, elle s'éclaire tout en s'épaississant de matières.

Je suis particulièrement touchée par les dessins où des enfants sont mis en scène, se mettent en scène. J'entends à côté de moi des "oh" et des "ah", des pas qui s'approchent et s'éloignent.

De loin, chacune des images est terriblement choquante: les enfants dessinés sont monstrueux, ils torturent, tuent, frappent et s'en amusent. Il faut s'approcher, mettre le nez sur le dessin.


JEU D’ENFANTS 3 :

Jérôme ZONDER à la Maison Rouge

APPROCHE-TOI ET REGARDE:

au delà de la scène, je regarde en bas, à gauche, par terre.

Je vois la bouteille de ketchup. Elle contient le rouge que j'ai ajouté de moi-même. Serait-ce un sang de cinéma?


JEU D’ENFANTS 1:

Jérôme ZONDER à la Maison Rouge

APPROCHE-TOI ET REGARDE:

Je vois le sourire de Belle.

Je regarde le sol. Ce n'est pas le sol d'une chambre d'enfant, c'est le sol de la forêt.

Je m'étonne de la taille des pieds, des vêtements, des coiffures.

Je vois le pauvre bougre que j'ai cru attaché à la petite chaise. Il n'est pas attaché, la pelote de ficelle n'a pas servi, il consent. Il me semble qu'il joue lui-aussi, complice de cette partie où on joue à torturer.


PIERRE-FRANCOIS ET LE CHAT QUI-RIT:

Jérôme ZONDER à la Maison Rouge

APPROCHE-TOI ET REGARDE:

Je ne vois pas le visage de l'enfant. Le chat n'en est pas un et sa compagnie me semble illusoire. L'innocence est provisoire.


Je me suis arrêtée tout particulièrement sur ce qui m'a le plus touchée à un instant donné, ce jour là, à cette heure-ci, sur ce que j'ai eu envie de comprendre ce jour-là à cette heure-ci: une certaine vision du monde à hauteur d'enfants qui ne le sont plus.

Je vous invite à découvrir cette expo et cet artiste:

  • les autres dessins que je n'ai pas évoqués,
  • l'ambiance,
  • la traversée à tatons dans le noir d'un tunnel qui mène vers des espaces blancs,
  • les dessins au doigt,
  • les dessins à bouclettes,
  • les masques de papier,
  • etc.

Rien de ce que je pourrais en dire ou en écrire, et qui ne peut être que partiel et partial, ne remplacera votre propre vision.

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13 décembre 2014 6 13 /12 /décembre /2014 12:07
(autodafé-détail)

(autodafé-détail)

Sans faim, ni soif, la nuit est d'acier, elle coupe comme une feuille de papier à la pliure de l'index.

Les tables des matières sont pleines de mots et les livres sont pleins de morts sur le champs, sans honneurs et sans tourments, morts sur le chant d'une hirondelle qui n'a pas fait leur printemps.

Une rondelle de citron écrasée au fond du verre. Lime. Trime.

Les bulles remontent et les pépins se noient, enfin.

C'est le zeste zélé de la lime qui va et qui vient sans raison apparente. Les raisons ont-elles des apparences? Et en quoi les apparences seraient-elles plus trompeuses que les disparitions?

Si on mettait les morts en musique comme on y met les mots, on aurait que des silences. Alors on les coucherait sur du papier, on les plierait en quatre, en huit, en seize et on lancerait la boulette au chat.

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