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5 septembre 2014 5 05 /09 /septembre /2014 13:27

Boîtes à boutons.

Boîtes à souvenirs.

Boîtes de choses inclassables.

Boîtes à brûler.

"Les boîtes à pioupiou", acrylique sur toile (80x60cm)

"Les boîtes à pioupiou", acrylique sur toile (80x60cm)

Le pioupiou n'est pas mort, sinon sa tête pencherait de l'autre côté.

Alors, pour ne pas souffrir par surprise, elle le tuera.

Elle va le ranger, avec les autres: hamster, cochon d'inde, chien, chat, poisson rouge, lapinou, amour, papi, mamie.

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2 août 2014 6 02 /08 /août /2014 20:42

Le petit chat est mort, il a pissé dans l'entrée, juste avant.

Le petit chat est mort

Les trois grâces ne sont plus que deux et elles dansent ensemble sur la mer noire.

(acrylique sur planches pourries)(acrylique sur planches pourries)(acrylique sur planches pourries)
(acrylique sur planches pourries)(acrylique sur planches pourries)(acrylique sur planches pourries)

(acrylique sur planches pourries)

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27 juillet 2014 7 27 /07 /juillet /2014 17:13

Un ami est passé à la maison.

Il m'a donné des planchettes, de celles qui séparent les bouteilles dans les caisses de vin, pour les brûler dans la cheminée m'a-t-il dit.

Non.

Chacune d'elles est devenue la part d'une vague de 60cm. Sur chacune d'elle se trouve une petite sorcière noiraude, liée à son bûcher.

Aucune ne brûlera.

Nées d'une caisse de sang du Christ, elles sont devenues des femmes combustibles, protégées désormais par un cadre.

acrylique sur 7 planchettes de 30x8.5cm

acrylique sur 7 planchettes de 30x8.5cm

Je vous invite à découvrir un texte de Marianne Camara sur le sort tragique réservé aux sorcières: les âmes perdues dont je vous propose un extrait:

"...
Nous sommes des centaines de milliers
à errer près de vous cherchant la délivrance,
cherchant toutes les réponses,
nous pleurerons encore, nous pleurerons longtemps
regardant nos bourreaux traversant les âges
et éternellement
s’organiser à travers les siècles
à continuer d’inventer, sous des prétextes faussement mystiques, les moyens les plus pervers et les plus douloureux, afin de garder le pouvoir en érigeant la peur et la terreur, celle qui engendre la soumission,
en sublimant ce besoin que l’humain a, d’écraser son prochain par la
domination !!
..."

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20 juillet 2014 7 20 /07 /juillet /2014 11:52

et sans modération.

Je ne le connaissais pas avant septembre 2013, et je me demande maintenant comment j'avais pu passer à côté.

Quentin Dupieux, à aimer sans raison

Wrong cops

C'est grâce à l'Etrange Festival de septembre 2013 que j'ai découvert, par hasard, le film "Wrong Cops" de Quentin Dupieux, sans trop savoir à quoi m'attendre, sans espoir, sans a priori, vierge de toute référence.

"Wrong Cops", c'est l'histoire de flics à Los Angeles et non, ce ne sont pas des anges. Se déploie sous nos yeux ouverts une galerie de personnages tous plus abrutis les uns que les autres: des moches, des ridicules, des dégénérés, des abuseurs de pouvoir, des gens qui s'ennuient et qui s'occupent, des tarés très atteints.

Réunir dans un même film Eric Judor en flic mélomane borgne-bossu du crane et Marilyn Manson en post-post-adolescent rondouillard et super attardé, ça vous donne déjà un aperçu du côté zinzin du mec.

Durant tout le film, un mourant sanguinolent est trimbalé sans ménagement ni compassion dans le coffre d'un flic obsédé, mais je n'en dirai pas plus, c'est trop absurde.

On rit, on rit beaucoup, extérieurement et intérieurement. Si vous aimez l'humour déjanté, gratuit et un peu méchant (mais si peu...) vous serez servis.

Quentin Dupieux, à aimer sans raison

Rubber

Et puis, cette semaine, encore par hasard, je tombe sur "Rubber" diffusé sur Arte en 2ème partie de programme, après l'excellent "Le grand Embouteillage" d'Ettore Scola (c'était une soirée "bagnoles et satires" sur Arte). Je m'accroche, je ne raterai ça pour rien au monde, tant pis pour le réveil matinal, tant pis pour la fatigue, tant pis pour les yeux qui se ferment.

"Rubber", c'est l'histoire d'un pneu assassin et télépathe. Et je n'en dirai pas plus non plus, le film étant basé sur du "no reason" qui démarre sur des chapeaux de roue, si je puis dire.

Bref, vous avez compris, je suis devenue fan en deux films.

Il me reste à trouver une solution pour voir les autres dont je ne peux malheureusement pas parler puisque je ne les ai pas (encore) vus.

Quentin Dupieux filme aux états unis en vo. Il sévit aussi dans l'électro sous le doux nom de Mr Oizo. A suivre.

Les bandes annonces trainent sur le net, à vous d'aller les voir, parce que décrire un film de Quentin Dupieux, c'est passer lamentablement sur l'inénarrable qui fait le film. Heureusement pour vous, vous aurez encore la chance d'être surpris.

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2 juillet 2014 3 02 /07 /juillet /2014 11:54
A l'arrache, il y a des peintures faites pour nettoyer les pinceaux, quand rien ne va comme on veut. Au fil du temps, la toile s'est salie et le pinceau est devenu propre avant qu'elle ne soit achevée. (40x80, acrylique)

A l'arrache, il y a des peintures faites pour nettoyer les pinceaux, quand rien ne va comme on veut. Au fil du temps, la toile s'est salie et le pinceau est devenu propre avant qu'elle ne soit achevée. (40x80, acrylique)

Peindre l'enfance, ce n'est pas peindre des enfants

Peindre l'enfance, ce n'est pas faire le portrait d'enfants, mais remonter à la source des sentiments, des apprentissages qu'au bout du compte, à l'âge adulte, on ne fait que réviser.

La plupart, peut-être même toutes nos sensations d'adultes ont été découvertes quand nous étions petits:

  • sentiment d'abandon
  • douleur et angoisse
  • solitude
  • injustice
  • joies et plaisirs

Nos douleurs d'adulte ne sont pas plus profondes, pas plus importantes. Les premiers émois sont sans doute les plus violents du fait de la découverte.

Peindre l'enfance, ce n'est pas peindre des enfants

Une dent perdue, et c'est l'apprentissage de la métamorphose, l'espoir de la récompense, le lien paradoxalement surnaturel qui nous unit à la nature et à l'inéluctable: grandir, c'est toujours abandonner quelque chose pour autre chose.

La chose abandonnée ne vaut pas moins, la chose acquise ne vaut pas plus.

Ce sont des nécessités vitales.

Peindre l'enfance, ce n'est pas peindre des enfants

Les enfants ne nous disent pas tout. Leurs secrets sont bien plus matures qu'il n'y paraît, et seuls les adultes qui ont oublié leur enfance peuvent avoir la certitude qu'il ne s'agit que de "petits secrets" enfantins, voire puérils.

L'adulte s'arroge le droit de décider que tel fait, telle action, telle pensée sont importants.

Il croit Savoir, de par son expérience personnelle qui n'est qu'uniquement universelle.

L'enfant ne craint pas le loup, il le cherche. Certes, le loup peut être dangereux, aux dires des adultes qui l'ont rencontré.

Peindre l'enfance, ce n'est pas peindre des enfants

L'enfance est un terreau, un support qui permet de faire comprendre à chacun, de partager ce que nous avons tous eu: une enfance.

Plus ou moins "réussie", plus ou moins heureuse, plus ou moins riche, elle est nécessairement "parfaite".

On ne se débarrasse pas de son enfance, mais seulement du loup (ce qui n'est pas si certain).

Peindre l'enfance, ce n'est pas peindre des enfants

Une part de nous-même apprend à obéir, et donc à se révolter, mais il s'agit de la même part. L'enfant désobéissant ne refuse pas d'apprendre, il refuse de se soumettre, et c'est à l'adulte de lui faire comprendre qu'apprendre et se soumettre sont les premiers pas vers l'autonomie, même si ça semble étrange à première vue.

Alors comment faire? Donner envie de se soumettre par la récompense?

C'est ce qui nous causera bien des soucis par la suite: faire la différence entre la satisfaction et la récompense, intégrer le groupe sans s'y faire dévorer.

La justice est un leurre auquel on aspire.

Peindre l'enfance, ce n'est pas peindre des enfants

Un jour, le sentiment d'abandon prend tout son sens, par un effet de boomerang incontrôlable qui est dans l'ordre naturel et cruel de notre nature.

Nous quittons la maison ainsi que nos parents, et un jour nos parents nous quittent définitivement.

Nous avons aimé une personne que nous avons quittée, une autre nous a quitté, et un jour, vers la fin, tout le monde nous quitte jusqu'à ce que nous quittions le monde.

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14 juin 2014 6 14 /06 /juin /2014 19:47
Troc avec The Dogg

Je me rends compte que j'ai omis d'évoquer mon dernier troc en date! Damned.

Cet échange amical s'est fait avec un artiste suisse qui manipule les photos d'autres artistes qu'il affectionne particulièrement. Il triture, s'approprie, déforme, reforme, redonne forme, et pour finir crée une nouvelle image.

Les images sont ensuite imprimées sur toile et montées sur châssis.

The dogg a troqué le portrait ci-contre contre deux de ses images.

C'est toujours un peu excitant de troquer son travail, on sait ce qu'on envoie, et on découvre ce qu'on reçoit, comme un cadeau, et là, j'en avais deux!

2 photos "recréées" par the dogg

2 photos "recréées" par the dogg

Découvrez un aperçu vidéo du travail de the dogg

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1 juin 2014 7 01 /06 /juin /2014 17:04
Martial Raysse au centre Pompidou

Expo Martial Raysse au centre Pompidou, hier, un samedi...

vers 14h00: 25 minutes d'attente pour Henri Cartier-Bresson (qui se termine ce 9 juin), 2 secondes pour Martial Raysse (le temps de présenter mon pass).

Les lieux sont presque déserts et offrent l'avantage certain de pouvoir déambuler sans bousculade, de s'attarder, de s'approcher.

Passée la période bien connue et bien aimée du "pop-art" et ses "made in Japan", j'ai eu le plaisir de revoir les toiles géantes de la collection Pinault découverte il y a quelques années au Palazzo Grassi de Venise.

Les gens passent, matent de loin, ouais, ils sont ben grands ces tableaux, du coup, le coup d'oeil semble suffire à certains. Erreur! Approche-toi, prends le temps de parcourir les 6 à 9 mètres de toile, dis-toi que le peintre s'est attardé sur des détails que tu ne verras qu'en t'approchant.

L'attachement de l'artiste à peindre le gigantesque n'exclut pas son acharnement à peindre le tout petit, le temps passé sur une grenouille, une souris, un clou...

"Poisson d'avril", une toile de 259 x 300 cm, voilà ce que donne la photo prise sans trop s'approcher, en se disant "pas grave, je la verrai chez moi", oui mais...

"Poisson d'avril", une toile de 259 x 300 cm, voilà ce que donne la photo prise sans trop s'approcher, en se disant "pas grave, je la verrai chez moi", oui mais...

... tu n'as pas vu le clou!

... tu n'as pas vu le clou!

... sans compter celles et ceux qui sont un peu mécontents de ne pas pouvoir faire de selfy devant la toile, parce que TU es devant, parce que TU as le nez dessus, parce que TU les emmerdes, y'a la place, y'a le temps, y'a pas foule!

Je continue ma promenade sur une plage de neuf mètres de long, que j'ai parcourue une dizaine de fois, près de 100 mètres à pied, sans compter les escales de petit pas!

"Ici plage, comme ici bas", 2012, 300x900cm

"Ici plage, comme ici bas", 2012, 300x900cm

entre ces deux femmes, la profusion humaine. Je remarque au centre: une bouée (entre autres).

entre ces deux femmes, la profusion humaine. Je remarque au centre: une bouée (entre autres).

Et puis, il y a "le jour des roses sur le toit", une cène centrale avec:

  • un homme, excentré sur la droite de la table, le seul qui nous regarde et montre du doigt,
  • ses promeneurs en haut à gauche qui avancent comme des ombres,
  • le petit enfant qui tente d'attraper une grenouille sous la chaise au premier plan à droite,
  • la fille de dos avec son cul (presque) nu,
  • les chiens, le chat sur les genoux,
  • le pinceau sur le bord de la table,
  • les deux ânes, dans le fond, qui semblent regarder la comédie humaine
  • ...
"Le jour des roses sur le toit", 2005, 315x600cm

"Le jour des roses sur le toit", 2005, 315x600cm

Un trop petit écran ne peut pas rendre l'intensité de l'image d'origine qui est immense, un écran, aussi grand soit-il ne peut pas rendre non plus la vibration du pinceau ni la couleur. En réalité, il est impossible de balayer d'un regard la richesse de la toile et aucune photo ne peut être fidèle au vécu, elle ne sera qu'une pâle et minuscule représentation.

"Il faut comprendre que je suis poète avant tout. J'ai des émotions poétiques, qui se traduisent par une mise en image, un peu comme une photo qui se développe.

le problème, c'est de mettre des mots sur les choses que les mots ne peuvent pas traduire. La peinture m'intéresse parce que c'est un langage sans parole. C'est pour ça que je suis devenu peintre, sinon je serais devenu écrivain. la peinture est un langage universel". Martial Raysse.

"les deux poètes"

"les deux poètes"

L'affluence va s'accroitre, ce fut une chance de visiter dans de telles (bonnes) conditions, même si, dans cet article (et uniquement dans l'article, parce que je me suis régalée de tout), j'ai passé outre "le carnaval à Périgueux", la période pop, les dessins, les sculptures, les films, les poésies, autant de raisons de voir l'expo, et pour moi d'y retourner.

Expo Martial Raysse au centre Pompidou du 14 mai 2014 au 22 septembre 2014.

Prévoir :

- 1 heure pour faire très vite, sans les projections
- 2 heures pour apprécier (sans les projections)
- 3 heures, ou 4, ou la journée, pour se laisser aller à aimer profondément

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16 mars 2014 7 16 /03 /mars /2014 10:36
Free fall

Les chutes: petits morceaux de toile découpés après ratage, dé-toilage, dé-montage du châssis, en-fumage du bois et ex-termination des cendres.

Il reste la toile, la chute dont je n'ai que faire mais que je n'ai pas envie de jeter dans le vide du camion poubelle. Elle a de jolies couleurs (ou pas), son enduit est parfait, elle n'est pas fragile car elle a déjà tout vécu: la tension, l'encolage, le vernis, la peinture, le stockage, la distension, la re-tension, le ratage, le découpage, la séparation d'avec le tout, la re-peinture enfin.

Les chutes sont toujours libres. Je me sens également libre de mes chutes, libérée de la position verticale, vautrée dans la couleur, ratatinée au sol avec les vieux tubes vides, sourde à tout appel extérieur.

Le cheveu est en vrac, sinon le cliché du peintre négligé ne serait pas parfait.

acrylique sur chutes libres de toile (19x14 environ)acrylique sur chutes libres de toile (19x14 environ)acrylique sur chutes libres de toile (19x14 environ)
acrylique sur chutes libres de toile (19x14 environ)acrylique sur chutes libres de toile (19x14 environ)acrylique sur chutes libres de toile (19x14 environ)
acrylique sur chutes libres de toile (19x14 environ)acrylique sur chutes libres de toile (19x14 environ)acrylique sur chutes libres de toile (19x14 environ)

acrylique sur chutes libres de toile (19x14 environ)

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15 mars 2014 6 15 /03 /mars /2014 16:26

L'oreille de van Gogh?

L'oreille trouvée dans "Blue velvet"?

C'est la mienne et je vous la prête, je vous la tends, je m'en débarrasse. Cette oreille a un vice caché, un vice interne: un acouphène persistant. Faut-il l'achever?

"M'ouis-tu?", acrylique sur toile de chute libre (19x15 environ)

"M'ouis-tu?", acrylique sur toile de chute libre (19x15 environ)

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2 février 2014 7 02 /02 /février /2014 22:46
EXPO du 18.02.14 au 02.03.14, vernissage le 18.02.2014 à partir de 19h00

EXPO du 18.02.14 au 02.03.14, vernissage le 18.02.2014 à partir de 19h00

"FREAK WAVE, VOUS AVEZ DIT FREAK WAVE ?"

Freak Wave, c'est une revue "subversive et misanthropique" qui se qualifie de "revue noire tout en couleurs" et qui fut créée à l'initiative de deux artistes peintres: Olivier Allemane et Anne van der Linden.

La revue existe depuis 2008 et est publiée aux éditions "Bruit Blanc". Annuelle, puis bisannuelle aujourd'hui, j'en suis les parutions depuis le début, depuis le 1er vernissage à la Galerie "Les singuliers" en 2008. Je me délecte à chaque fois des images et des textes qu'elle propose de découvrir.

Le numéro 5 de la revue est édité ce mois de février 2014.

UNE VAGUE SCELERATE

La Freak Wave, en français c'est "la vague scélérate".

Il s'agit d'une vague qui surgit en haute mer et non d'un raz-de-marée qui apparaît au bord des côtes (sic). Les vagues scélérates sont rares et leur hauteur de crête est exceptionnellement élevée, elles apparaissent en dehors de toute tempête, les navires ne résistent pas à leur pression (re-sic).

Il aura fallu de nombreuses recherches scientifiques pour faire de cette autrefois légendaire vague scélérate une réalité.

LA REVUE

La revue Freak Wave (éditions Bruit Blanc) présente des artistes aux univers variés mais liés d'une certaine façon: "Art brut, art hors normes, art pornographique, littérature underground, poésie décadente, de toutes des appellations la réalité déborde dans une démonstration de beauté authentiquement sordide et bouleversante." Voilà qui est dit, donc dixit.

J'ai découvert ou redécouvert dans les numéros précédents des oeuvres et des artistes inscrits dans leur époque: ils mordent puis ils crachent, ils déchirent et recousent les épidermes, ils sucent et ils avalent, ils digèrent et chient, ils se nourrissent de ce qui les fait vomir. Il y a de la viscère, du fluide corporel dans tout ça, il y a de l'homo faber croisé avec un animal qui réfléchit et qui se réfléchit dans une Histoire.

Trouver mes toiles dans cette revue, c'est un peu pour moi comme tirer la langue à tous les canapés et rideaux dont la couleur ne se marie pas avec mes couleurs. Pas peu fière la X.TiN... et heureuse d'entrer dans une famille de scélérats se foutant pas mal des académies et du "bon goût".

Je remercie donc vivement les instigateurs de cette revue de m'avoir contactée, m'offrant là ce que nul autre ne m'avait offert auparavant: la possibilité à mes toiles d'être vues de façon frontale et crue, sans blabla ni fioritures.

  • The same in english on my web site (as possible)
Extraits de la revue, et couverture de Freak Wave n°5 par le peintre Korehiko Hino
Extraits de la revue, et couverture de Freak Wave n°5 par le peintre Korehiko Hino
Extraits de la revue, et couverture de Freak Wave n°5 par le peintre Korehiko Hino

Extraits de la revue, et couverture de Freak Wave n°5 par le peintre Korehiko Hino

EXPO avec:

BRUNO RICHARD, DOM GARCIA, OLIVIER ALLEMANE, JOCELIN, ALEXANDRA YONNET, LULU LARSEN, DOMALE, LUDOVIC LEVASSEUR, X.TIN, NADIA VALENTINE, ANNE VAN DER LINDEN, OLIVIA CLAVEL, KIKI PICASSO, ANTOINE SAINT-GUILY, SARAH BARTHE, JOKO, HERVÉ SCOTT FLAMENT, MARIE NOËL, JEAN-LOUIS COSTES, PATRICK JANNIN, SEB NIARK, AGATA SIECINSKA, SEXANDROÏDES

En sus du n°5, les numéros précédents restent disponibles aux éditions "Bruit Blanc"En sus du n°5, les numéros précédents restent disponibles aux éditions "Bruit Blanc"
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  • Un parcours d'autodidacte, en dents de scie...
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