22 décembre 2007
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Ces danses macabres et ces vanités sont arrivées à poings et à piques pour illustrer certains états : tronçonner les raisons cachées, terrasser les passions coupables, accoucher de formes monstrueuses, déglutir de mythes confidentiels, amalgamer peinture colle et papier, puis cracher des images et exhiber à quel point ce que nous sommes est terriblement futile et ridiculement beau.
On peut danser avec la mort n’importe quand, mais une seule fois.
On peut danser avec la mort n’importe quand, mais une seule fois.